Une lettre arriva de bonheur au Manoir. Holmes, colocataire de l’hybride Time lady Aelia se trouvait dans son grenier à faire une quelconque expérience pour enrayer son ennui lorsqu’on l’appela. Espérant que ce soit une bonne nouvelle pour lui, il se précipita jusqu’à dans l'entrer où l’attendait sur une petite table une lettre lui était adressée. Le détective, observateur comme d’habitude du tout de suite qu’il n’y avait aucun danger à ouvrir l’enveloppe qui n’était pas bien lourde. Il l’emmena à son nez pour sentir le type de l’encre utilisé et il analysa rapidement l’écriture de l’envoyeur. Distinguées, avec quelque touche de bon menteur, de manipulatrice et d’escroquerie. Il devrait se méfier de cette personne qui voulait probablement se servir de lui à de mauvaises fins. Remontant dans ses quartiers, il s’assit sur son fauteuil et il ouvrit la missive avec un coupe-papier. Une fois fait, il sortit le papier et en observa la qualité, la texture et les motifs pour savoir à qui il avait à faire. Après, il porta son attention plus spécifiquement au texte. Une offre d’emplois et collé au papier il y avait un bon gros montant d’argent en grosse coupure.
Monsieur Sherlock Holmes, je vous vous contacte en ce jour pour vous proposer une offre qui, je l’espère, vous plaira. Ce que je vous offre n’est pas le montent final, mais une partie de ce que je vais vous donner si vous faite une recherche pour moi. Je pense que vous connaissez l’existence des Timelords puisque vous vivez vous-même avec l’une d’entre eux. Alors, je vous demande humblement, cher détective, de suivre Donna Noble. Vous la trouverez à cette adresse: (adresse inscrite du lieu de résidence.) Je vous serai gré de la suivre et de l’espionner pour en savoir plus sur le compte de celui qui d’appel Le Docteur. Si vous refusez mon offre, renvoyez-moi tout simplement l’argent.
Je compte sur vous.
Anonyme. -
Holmes se doutait que s’il cherchait le Docteur, ce n’était pas pour prendre le thé, mais il fouilla tout de même dans son armoire à costume. Il allait suivre cette madame Nonle. Non pas pour donner les informations à son « client », mais pour comprendre ce qu’il pouvait bien vouloir à ce Timelord. Alors, Sherlock enfila un déguisement. Habillé comme un touriste, il avait tout l’attirail. Le chandail « I love Big Ben », la casquette « London for ever », des lunettes fumées, un vieil appareil numérique autour du cou et un plan touristique de la ville de Londres ornaient Sherlock et permettraient de le fondre dans la masse. Le vampire prit le temps de chercher sa chevalière pour s’assurer de ne pas cramer au soleil . Il pouvait supporter la lumière, mais seulement s’il se protégeait. Une fois toutes les précautions prises, il prit le chemin de la demeure Noble. Cette dernière sortait justement de chez elle. Il la fila durant une bonne demi-heure en se cachant dans les ruelles ou dans les foules de touristes surexcités afin de passer inaperçus.
Lun 30 Oct - 18:30
Donna Noble
The Most Important Woman in the Universe
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Date d'inscription : 26/03/2017
Localisation : Quelque part dans l'espace et le temps.
(Note : J'ai décidé de placer ce rp un peu avant celui avec Aelia, car Donna va voyager avec elle après ^^)
Donna, rentrée depuis quelques jours chez elle, soupirait en buvant son café. Lassé de parcourir l'univers dans le passé, le présent et le futur et de ne trouver personne. Pas de Docteur. Pas d'Aelia. Personne ! C'était si frustrant. Et sa mère qui faisait son habituelle tirade de reproche. La jeune femme tentait vainement de l'ignorer, et son grand-père tentait de changer le sujet de la conversation. Lassée et frustrée, Donna finissait d'une traite son café, annonçant qu'elle va dans sa chambre. Elle lava sa tasse et monta dans sa chambre. S'asseyant sur son lit, elle prit un livre sur sa table de chevet et passa une bonne heure à lire.
Finalement, la demi-timelady ferma son livre, terminé, et se leva. Se mettant devant son ordinateur, elle fit quelques recherches pour savoir si quelqu'un avait vu un homme étrange avec un tournevis tout aussi bizarre. Mais sans surprise, rien. Donna se leva puis se laissa tomber sur son lit. Elle était vraiment fatiguée de chercher dans le vide. De chercher pour rien. Mais en y repensant, s'était logique : il ne devait laisser aucun indice qui pourrait ranimer la mémoire de Donna. Il ne savait pas que sa mémoire était revenue... Désespérée, elle ferma les yeux.. et s'assoupit.
Plusieurs heures plus tard, elle se réveilla. Elle ressentait le besoin de sortir, d'oublier ce qu'elle était à présent : une hybride humaine-timelady. D'oublier toute cette histoire, l'absence d'indice concernant la position ses amis. Elle avait besoin de parler à ses amis, ceux qui ne savaient rien. Elle prévint sa famille puis sortit de chez elle. Prenant son téléphone, elle contacta une ancienne collègue, et l'invita à prendre un verre. Son amie accepta et Donna prit un taxi pour se rendre au bar du rendez-vous. Elle regardait vaguement par la fenêtre, regardant les gens défiler, des familles, des amis, ou simplement des gens seuls. Elles s'installèrent en terrasse. Une demi-heure passa, les deux femmes discutaient, prenaient des nouvelles. Au final, c'était assez ennuyant. La vie de voyages dans le TARDIS lui manquait terriblement.
Donna avait remarqué quelque chose. Un touriste, qui semblait ne pas en être un. Et qu'elle semblait voir, étrangement, très souvent. Donna se leva et prit congé de son ancienne collègue, prétextant une urgence. La Docteur emprunta alors de petites ruelles. Et cet homme, bien que très discrètement, la suivait. Elle tourna rapidement au détour d'une rue et attendit, se cachant. Lorsqu'elle vit ce "touriste" tourner dans la même rue, elle sortit de sa cachette et s'approcha de l'homme, assez remontée.
-Hé oh ! Vous ! Oui vous là ! Je peux savoir pourquoi vous me suivez ?
Elle fixa le "touriste", assez énervée qu'on vienne l'embêter à la suivre. Un potentiel agresseur ? Ou bien.. Quelqu'un qui savait pour son côté timelady, ou ses antécédents de compagne du Docteur. Quelqu'un qui voulait peut être du mal à son meilleur ami. Tant de possibilités. Mais la rousse savait se défendre et s'il s'approchait trop près, son genou allait rapidement rencontrer ses bijoux de familles. Elle n'aurait aucun scrupule.
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